dimanche 14 avril 2013

Amed

Nous sommes partis de Sanur pour se diriger vers Amed ou plutôt Jemeluk, un tres petit village de pêcheurs près du tout petit village de Amed. Nous avons pris un transport que nous avons booké à partir de notre hôtel à Sanur au cout de 350 000 roupiah. Ce qui était un bon deal parce que nous n'avons pas trouvés mieux avec les chauffeurs sur la rue.
Notre chauffeur, n'étais pas le meilleur, il conduisait vite et klaxonnait tout le temps, en tout cas plus que la moyenne des indonesiens. Une fois arrivés à Amed, il nous demande quel hébergement nous avions choisis. Nous lui donnons le nom de l'hôtel qui est situé dans le village voisin et là il essaie de nous trouver pleins de bonnes excuses pour ne pas s'y  rendre du genre: si vous n'avez pas réservé ce sera surement complet, il y a pleins d'autres homestays plus abordable ici, c'est cher la-bas etc.
Il nous fait donc visiter quelques homestays qui ne nous conviennent pas et il nous dit qu'il n'y a pas d'autres homestays avec des chambres à deux lits, ce qui n'est pas vrai puisque nous avons toujours réussis à en trouver. Bref il fini par nous dire que si nous voulons aller plus loin il faut payer plus, un sale crosseur.
On a pas vraiment le choix on dit que c'est correct et nous continuons environs 500 mètre, on voit une affiche d'une place qui devrait nous convenir.  Nous nous arrêtons au kusuma Jaya Indah Bungalows, une belle place avec des jolis petits bungalows et une belle piscine sur le bord de la plage de cailloux.
Nous laissons repartir notre chauffeur impatient qui a le culot de demander ses 25 000 rupiah de plus pour les 500m fait. Nous adoptons cette jolie  place pendant près d'une semaine de tranquillité ou nous faisons du snorkeling et de la piscine. Au courant de la semaine nous sommes allés voir 2 épaves,  et un combat de coqs.
La première épave est située a Aas, c'est l'épave d'un bateau de pêcheurs Japonnais a seulement 5m de profondeurs, entourée de beaux coraux et de poissons tropicaux.
Pendant que nous étions partis faire du snorkelling Damien, Bianca et moi, Eliam se faisait garder par un des musiciens qui nous avait booké le bateau la veille pour se rendre à l'épave. D'ailleur, ce guitariste et son joueur de tamtam nous ont donné un très bon spectacle privé dans le restaurant: Cafe c'est bon, vide à cause de la pluie avant de booker le bateau.
La deuxième épave est celle du USS Liberty un cargo américain de 120m qui transportait du caoutchouc et des rails de chemin de fer  pendant la deuxième guerre mondiale en 1942 et qui fût torpillé par un sous-marin Japonais. En snorkelling, nous pouvons voir seulement les 30 ou 40 premier mètre mais c'est quand même assez impressionnant.
Ensuite, nous somme aller voir un combat de coqs. Les combat ee déroulent un peu comme un combat de boxe. En premier lieu, les participants qui apportent leur coq, le mette face à face avec plusieurs coqs les un à la suite des autres pour voir avec quel autre coq il ferait le meilleur combat (à ce que j'ai compris en tout cas). Ensuite, quand les 2 coq sont choisis, ils leurs attachent une lame de couteau à une de leur patte et les mettent dans l'arène. Une fois les coqs dans l'arène, les paris sont ouverts et ils lancent le combat. C'est un combat à mort, si les coqs refusent ou arrêtent de se battre, ils les mettent dans une petite cage pour finir le combat jusqu'a ce qu'il y ait un des 2 coqs qui rende l'âme. Le coq perdant est ensuite deplumé et cuit pour être mangé. En Indonésie, les combat de coqs sont une affaire d'homme, Bianca était la seule femme présente à l'exception des femmes qui vendent des trucs à manger. Cette joyeuse activité finissait bien notre semaine agréable et relaxante à Amed.




2 commentaires:

  1. C'est toujours intéressant de vous lire !! :)
    L'indonésien moyen est pauvre j'imagine ? ou bien les chauffeurs sont particulièrement « crosseurs » ??? Avez-vous peur des fois ou la gentillesse de la majorité compense ?
    bonne continuation !

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  2. L'indonesien moyen n'est pas vraiment pauvre, pour nous il peux le paraitre mais vu le cout de la vie en indonesie, les chauffeurs sont pas mal dans la classe moyenne comme la plupart d' entre nous au canada. C'etais le premier chauffeur comme ca sur lequel nous sommes tombé, la plupart etais tres gentils et sympathiques. Mais ils ne faut jamais oublier de marchander d' au moin 50% tout les tarifs demandés avant de partir.

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